Peut-être, après tout, fallait-il que la France expiât d’avoir été si longtemps si grande et si belle .
Le plus douloureux est-il sans doute de la voir se renier dans l’apathie quasi-générale des veaux humains, et sous les applaudissements extatiques de la canaille … France, de tes petits, combien pleurent de t’avoir vue tourner putain ?
A mesure que cèdent les digues et tombent les frontières, que nous assourdissent les vagissements hypocrites de la Liberté, le monde nous apparaît, à nous autres, irréductibles tue-la-fête, infiniment moins vaste, l’humanité considérablement rabougrie, les boues du cauchemar planétarien chaque jour un peu plus denses, un peu plus profondes… La suffocation un peu plus proche .
Car la machine de guerre globaliste ne se contente pas d’asservir les nations, de sucer leur moelle : elle rongera jusqu’au dernier quartier d’âme, bâfrera jusqu’à la dernière miette de fibre identitaire dans une véritable frénésie décivilisatrice, opération qu’ont de tout temps privilégiée les tyrannies consciencieuses ; c’est qu’il n’est aux despotismes de meilleure alliée que l’entreprise de dissolution spirituelle, plus sûr moyen d’assassiner dans l’œuf tout embryon de révolte chez les peuples dont on entend sucer le sang .
La France ? Plus qu’une charogne, un bourgeonnement cancéreux au nez de Sainte-Jeanne d’Arc, l’un de ces bouquets d’ordure qui fleurissent sur les ruines des âmes affaissées .
Lentement d’abord, voracement ces dernières décennies, le bacille mondialiste a rongé les défenses immunitaires des corps sociaux enracinés, ces logiciels particuliers selon lesquels les peuples tâchaient de déchiffrer le monde, et notamment d’en flairer les chausse-trappes .
Eh bien, l’on peut dire que la France a eu droit au traitement de choc, et plus qu’à son tour !
Je pourrais, une fois encore, m’enculer la santé à hurler l’horreur, la suprême humiliation qui tord la panse des braves gens, des honnêtes couillons pétrifiés par ce théâtre grotesque que donnent à l’année les coquins mandatés pour servir la Nation, ces porcs qui sans vergogne s’empiffrent et torchent leurs gros culs des soies veloutées du Pouvoir, là, sous les yeux effarés de la populace ; ces jean-foutre, tous plus sataniquement pourris les uns que les autres et, pire encore, d’une si parfaite nullité que, dès lors qu’il n’est plus question de poignarder le peuple dans le dos mais de lui mentir, les bandits doivent ajouter au spectacle de la désolation morale les preuves formelles de leur ahurissante indigence intellectuelle, de leur abyssale ignardise, de leur stupéfiante inexpérience du monde vascillant hors les murs des forteresses où s’amoncelle le fric mal acquis, le tout délivré en un baragouin post-français si grotesque, en des logorrhées si bouffonnes et si manifestement pondues aux chiottes entre deux rails de coke par un énarchique laquais, qu’il faut bien que les voyous soient tout à fait irrécupérables d’imbécile vacherie pour ne pas taper leur maudit fessard par terre entre deux balivernes .
Mais, zut ! La course à la trahison, sa débauche d’outrageantes forfaitures et la minable crapulerie des compétiteurs ne sont en définitive que bien peu de choses en comparaison des coups terribles portés à l’oecumene, martyre voulu par les Maîtres usuriers et infligé par la politicaille inféodée – sans avoir toujours réelle conscience de la morbidité des arrêts auxquels elle appose son sceau crétin, on peut le penser .
Voilà donc le monde remodelé à l’image des pires saloperies empoisonnant son air, et on ne peine guère à comprendre l’acharnement de celles-là à dresser partout où règne l’harmonie des miroirs à même de refléter leurs inexprimables difformités : cette vermine nourrit une haine sans borne à l’encontre de Dieu, aussi ne lui est-il rien d’impossible tant qu’il s’agit d’intriguer contre Lui .
Je ne crois pas qu’il soit ici indispensable de m’appesantir, les succès de l’entreprise de démolition anthropologique en cours – et, plus largement, la corruption systématique de l’Ordre naturel – sont si nombreux et si remarquables qu’il serait fastidieux d’en dresser une liste exhaustive : les stigmates sont là, la putréfaction galopante observable par qui a des yeux pour voir .
C’est bien sûr en matière de subversions sexuelle et génétique – je pense notamment aux « avancées » significatives des travaux portant sur l’ectogenèse, à l’essor des NBIC (Nanotechnologies, Biotechnologies, Informatique et Sciences Cognitives), à la banalisation de la GPA, bref, à l’engouement des huiles essentielles pour la mystique prométhéiste – que les poussées de fièvre les plus spectaculaires ont pu être observées, rendues possibles notamment par les sidérantes campagnes de propagande homosexualiste et les impostures que sont les études dites de genre, aujourd’hui substantiellement injectées dans la tronche des petits enfants grâce à l’enthousiaste complicité de l’institution scolaire .
UN HOMME INVERTI EN VEAU D’OR
Voyez un peu ce ballet de fiottes qu’on nous jette quotidiennement à la gueule ! Cette vilaine manière de psychiatriser la saine répulsion qu’éprouvent les foules pour les amours rectales, pour le transsexualisme, pour le commerce d’enfants …
Holà, mes agneaux ! Je le dis tout net : il n’est pas question de « haïr » les mamelouks de la fièvre sodomitique, que l’on s’entende ! Aux pédales – tout comme aux autres vicelards – je ne souhaite que du bien, et même le meilleur ! A savoir de se prestement amender sous l’auspice du Christ, charcuté en place publique pour le salut de la meute, et de se purger au plus vite de cet empire de crapulerie qui les ronge en dedans, les tenant captifs du cloaque et les vouant à terme à l’indépassable cauchemar d’une éternité à croupir loin de Dieu . Aussi les supplié-je en frère de ne point tarder à se jeter au pied de la Croix .
En fait, les turpitudes de l’enculé ne me préoccuperaient guère si elles n’étaient pas si bruyamment révérées par la secte de l’Ordure présidant à nos destinées ; les cochonneries pratiquées aux seuls dépens d’âmes mûres et avides de Géhenne ne m’empêchent assurément pas de dormir, tant que l’on n’en vante pas les vertus civilisatrices aux honnêtes gens .
Comment ne pas crever foudroyé par la fureur de l’ulcère tandis que partout l’on glorifie la fiotte, que de tout part tonnent les foireuses trompettes de Sodome ?
Saurait-on imaginer plus criante manifestation de dégénérescence, quoi que ce fût de plus visiblement tordu, de plus ouvertement détraqué, de plus essentiellement déviant que ces êtres qui, moulés à l’image de l’homme, consument le rachat de leurs péchés à singer les drôlesses de la plus grotesque façon (a-t-on jamais vu une folle qui ne transpire pas la vulgarité putassière ? Est-il une tata dont les pantomimes évoquent la grâce d’Audrey Hepburn ? Non, l’universel modèle des malheureuses créatures pompe des chibres entre deux bennes à ordures) ?
Si je peux faire l’effort d’imaginer le court-circuit dont naît l’attirance du mâle pour le mâle, je ne saurai très probablement jamais ce qui pousse un homme à désirer ces chapons transgéniques dont les horripilantes simagrées constituent, n’en doutons pas, l’un des plus infâmes outrages qui se puissent être infligés à la Création .
Le droit de la presse ayant été révisé, ce genre de billets, aussi dépourvu de haine soit-il, pourrait m’attirer bien des soucis ; fort heureusement, je suis suffisamment peu lu pour qu’il me soit permis d’espérer couper à la matraque !
Le mauvais esprit et les gros mots ne sont que des outils, et qui n’a pas les mirettes engluées de foutre verra que m’anime seul le souci du Bien commun . Par conséquent, qui se formalise de mes excentricités est diablement malhonnête, ou dramatiquement connard, et, dans un cas comme dans l’autre, cordialement invité à courir se faire enculer . C’est le truc de cette mafia de pisseuses qui nous gouverne, la criminalisation de toute réticence à courber l’échine, la «liberté d’expression » ne valant bien entendu que pour les lèche-culs et les pauvres couillons tombés sous le joug mental de la Saloperie .
Nous autres râleurs sommes les gentils du film, aussi, quelles que puissent être nos exubérances, ce lot d’outrances qui blesse la pudeur des chastes esgourdes et fait couiner les traîtres, le vent de furie qui parfois porte nos sains merdoiements, il s’agirait que tous retiennent une bonne fois pour toutes que rien ne surpasse en brutalité, en barbarie, en inhumanité les assauts menés – oh, si mielleusement ! Jamais à sec, c’est entendu – par le Nouvel Ordre Moral .
Que les menteurs bavent ce qui leur chante à l’oreille des crétins, qui n’a pas la tronche tout à fait noyée sous la fange sait de quel camp l’homme est haï . Nous n’avons plus pour nous que la symphonie des ulcères et les yeux pour pleurer ; nous ne goûtons guère la chialerie, alors pourquoi bouder la joie de dégueuler dans leur soupe ?
Ce sont eux les artisans de la nausée . L’enfer, c’est ces autres .